On ne vient pas nécessairement à Annecy pour visiter un monument ou un site en particulier, même si certains font depuis longtemps la renommée de la ville et même de la région, à l’image des bâtiments religieux de la vieille ville ou du lac verdoyant situé au pied des collines… Le séjour en camping Annecy est surtout une occasion rêvée, en particulier pour des familles ou des couples, de profiter des belles balades de celle qu’on appelle la « perle des Alpes », la même qui offre en outre de nombreuses plages et qui est rythmée par des festivals musicaux et plusieurs événements culturels… Que vient-on voir dans la plus grande ville de Haute-Savoie, et en particulier dans la vieille ville ? On vous parle des principaux attraits d’Annecy.
Que vient-on voir dans la vieille ville ?
Ceux qui optent pour un séjour en camping Annecy ont la chance de découvrir l’authenticité de son cœur historique. La vieille ville est reconnaissable entre autres à ses pittoresques ruelles pavées de l’Ile, Perrière, Sainte-Claire ou Filaterie. Ces allées tranquilles sont d’autant plus charmantes qu’elles sont bordées d’anciennes maisons sur arcades dont les façades colorées d’ocre ou de terre de sienne font la singularité… La visite du cœur historique d’Annecy se visite du côté de la porte Sainte-Claire, d’où l’on peut remonter le chemin des remparts ou de la côte Nemours, qui mène jusqu’au musée-château qui impressionne autant par sa taille imposante que par sa cour d’honneur somptueuse, entre autres. Le public a en outre la chance d’y admirer les toits du Vieil Annecy et de profiter d’une vue imprenable sur le lac. Le château est par ailleurs le vestige de la période princière au cours de laquelle, du 13èmeau 18ème siècles, le pouvoir était entre les mains des comtes de Genève, de la maison de Savoie puis des ducs de Genevois-Nemours.
Les édifices religieux de la vieille ville
La « religiosité » est une des caractéristiques qui marquent le cœur historique du quartier, ce qui fait d’ailleurs d’Annecy la « Rome des Alpes ». Cela tient notamment au fait que de nombreux bâtiments religieux s’y dressent, à l’image des églises Saint-François et Saint-Maurice ou de la cathédrale Saint-Pierre. La « Rome des Alpes » est aussi connue pour les traces mémorielles qu’aura laissées le christianisme durant des siècles. Parmi ces traces, il y a cette décision prise au début du 17ème siècle par François de Sales, alors évêque de Genève, de faire d’Annecy son siège épiscopal. La même période aura vu la création de l’ordre de la vision ou encore le fondement de l’académie Florimontane, qui deviendra plus tard l’Académie française.
Pourquoi Annecy est aussi appelé la « Venise des Alpes »
C’est toujours dans la vieille ville qu’on peut le mieux cerner les airs de « petite Venise savoyarde », avec notamment un style architectural néo-classique et des influences du Piémont-Sardaigne, sans oublier les canaux aux vannes du Thiou et du Vassé. Les canaux sont par ailleurs enjambés par plusieurs ponts de pierre qui, outre leur réussite architecturale, font office de points de vue pour admirer les bâtiments historiques ou le lac à l’est de la cité.
A la découverte d’une ville vivante et animée
La Fête du lac est l’occasion pour la ville de briller de mille feux, en particulier sur l’esplanade du Pâquier où les spectacles pyrotechniques illuminent la place. Pour rejoindre ce lieu de rencontres et d’échanges, situé à l’Est, on emprunte le pont des Amours qui enjambe le canal de Vassé. A partir de là, les choix sont multiples en termes de lieux d’intérêt. Mais beaucoup s’intéressent en particulier au parc de l’Impérial ou surtout à la verdoyante baie d’Annecy-le-Vieux qui offre en outre une vue à couper le souffle sur les Dents de Lanfon, le Trélod ou l’Arcalod, au sud.
Les balades à pied ou à vélo font aussi partie du charme d’Annecy. Il en est de même pour les plages ainsi que les nombreux festivals musicaux ou événements culturels qui maintiennent le rythme tout au long de l’année. Le public apprécie d’autant plus cette destination qu’elle est proche de Chambéry (48 minutes), de Genève (45 minutes) ou encore de l’Italie (1